Nombre total de pages vues

jeudi 29 juin 2017

LE CANCER, UNE ÉPIDÉMIE PROGRAMMÉE

LE CANCER, UNE ÉPIDÉMIE PROGRAMMÉE
Le Dr Otto Heinrich Warburg a été l’un des éminents physiologistes du XXème siècle, et il a découvert que la cause du cancer est une acidité trop importante dans le corps, signifiant que le pH dans le corps est en dessous du niveau normal de 7,365, qui constitue un état acide.

Il a déclaré : "Les tissus cancéreux sont acides, alors que les tissus sains sont alcalins. L’eau se divise en ions H+ et OH-, s’il y a un excès d’H+, c’est acide ; s’il y a un excès d’OH-, alors c’est alcalin."

Le manque d’oxygène et l’acidose sont les deux faces d’une même pièce : si vous en avez une, vous avez l’autre. Toutes les cellules normales ont un besoin absolu d’oxygène, mais les cellules cancéreuses peuvent vivre sans oxygène , c’est une règle sans exception. Privez une cellule de 35% de son oxygène pendant 48 heures, elle pourra devenir cancéreuse.

Le Dr Warburg a découvert que les cellules cancéreuses sont anaérobies et ne peuvent pas survivre en présence de niveaux élevés d’oxygène, que l’on trouve dans un état alcalin.

Etant donné que nous sommes faits à 60/70% d’eau, le niveau du pH a des effets très profonds sur la chimie du corps, la santé et les maladies. Tous les mécanismes régulateurs (respiration, circulation, digestion, production hormonale) ont pour but d’équilibrer le pH, en débarrassant le corps et les tissus des résidus acides sans endommager les cellules vivantes.
Si le pH dévient , trop acide ou trop alcalin, les cellules s’empoisonnent avec leurs propres déchets toxiques et meurent.

En l’absence d’oxygène, le glucose fermente et devient acide lactique. Cela baisse le pH des cellules. Le pH des urines et de la salive des patients en phase terminale de cancer se situe très souvent entre 4.0 et 5.5. Quand le cancer se transforme en métastases, le pH chute d’avantage. Nos corps ne peuvent pas lutter contre la maladie si le pH n’est pas proprement équilibré.

Les traitements par chimiothérapie consistent à injecter, le plus souvent par voie intraveineuse, des substances chimiques dans l’organisme. Le but de la chimiothérapie serait donc d'enrayer ou de ralentir l'évolution de la prolifération des cellules tumorales.
Des scientifiques du centre de Mc Gill ont démontré à la suite d’un questionnaire que sur 79 médecins, 64 refuseraient pour eux-mêmes un traitement chimiothérapeutique.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire